S’il est des écrivains aujourd’hui méconnus en dehors de leur patrie d’origine (et encore…), c’est bien Auguste Bailly. Et c’est injuste car notre Grandvallier, professeur d’histoire et auteur de nombreuses monographies historiques, a aussi été un remarquable auteur de romans dont certains ont été largement inspirés par le Grandvaux : il faut lire La Carcasse et le Tord-Cou, Blanche Monnet ou La Vestale pour bien s’imprégner de l’esprit qui soufflait dans nos contrées au début du siècle dernier. Bien sûr, cet esprit s’est largement évaporé depuis, mais il reste de superbes descriptions des paysages, des maisons, de la geste paysanne qui rappellent fortement Louis Pergaud, autre Franc-Comtois beaucoup plus connu.
La bibliographie proposée en fin d’article nous en apprend beaucoup sur une œuvre très éclectique qui connut un grand succès dans la première moitié du XXe siècle.
Ses origines.
Son arrière grand-père de Fort-du-Plasne avait épousé une Turinoise. Ses grands- parents habitaient aussi Fort-du-Plasne.
Un de ses oncles, Alfred Bailly, fin horloger, avait été demandé par une école d’horlogerie de Paris pour y enseigner son métier, mais la vie citadine ne convenait pas à sa nature indépendante. Trois mois passés là-bas lui suffirent. Il rentra dans son village où il retrouva ses habitudes et sa liberté.
Son père, Edmond Bailly, est professeur à Lons-le-Saunier quand Auguste vient au monde, le 8 janvier 1878. Au gré des postes paternels, Auguste Bailly commence ses études secondaires à Douai, et les poursuit au lycée Louis le Grand à Paris. Il est admis à Normale Supérieure, il en sort agrégé et premier de sa promotion à 21 ans.
Il entre ensuite à la fondation Thiers, instituée en 1891, selon le vœu de la veuve de l’homme politique. Cette fondation fournit à un certain nombre de jeunes gens (majors de promotion) trois années de libre travail : pension annuelle, logement pris en charge et, à disposition une très riche bibliothèque. Quelle que soit leur discipline, liberté absolue leur est laissée pour conduire leur travail.
Sa carrière.
Professeur de français, latin et grec, il enseigne à l’école alsacienne de Paris, école semi -privée de grande renommée jusqu’en 1918. Puis il intègre le lycée Pasteur de Neuilly où il reste jusqu’en 1936, date à laquelle il prend sa retraite anticipée et passe alors de 4 à 5 mois par an à Saint-Laurent-en-Grandvaux. D’un premier mariage, il a 2 enfants : Jacqueline et Jean. Longtemps après le décès de sa première femme, en 1918, il épouse Madame Hortense de Sampigny, violoniste concertiste très connue. Vers la fin de l’occupation, il revient à Saint-Laurent, y retrouve sa maison pillée, la remet en état pour y vivre jusqu’à sa mort en avril 1967.
Son œuvre littéraire.
Dès l’âge de 16 ans, il écrit des contes pour enfants, des contes et nouvelles régionales sous le pseudonyme de Jean Save. En avril 1910, son premier roman sort : Les Prédestinés, puis suivent une vingtaine de titres. Ces premiers romans sont souvent une peinture de la vie au Grandvaux au siècle dernier et, en amoureux de son pays, il a bien rendu les paysages, l’atmosphère et mis en scène des personnages et des situations souvent cocasses. Auguste Bailly nous laisse quantité de nouvelles malheureusement dispersées au gré des publications. Nous en donnons un exemple avec Le noël du Farfouillon. L’œuvre romanesque se prête au passage à l’écran : trois ouvrages ont fait l’objet d’un film, Naples au baiser de feu (1937), La Carcasse et le Tord-Cou (1948), et le Désir et l’Amour (1951) . En outre, Naples au baiser de feu a été repris en 1954 aux États-Unis sous le titre Flame and the Flesh et sous la direction de Richard Brooks (voir la filmographie).
Dans la plupart de ses romans, les rapports amoureux entre les hommes et les femmes tiennent une grande importance. Ils ont su trouver leur public si l’on considère le nombre des rééditions. En fait, dans les années 30, Auguste Bailly était un auteur populaire dont les romans côtoyaient dans la collection Le Livre de Demain (Fayard), des noms aussi célèbres que Jean Cocteau, Georges Duhamel, Henri de Régnier ou Colette.
En 1928-1929 : à la demande de son éditeur, Arthème Fayard, il commence ses monographies historiques qui font encore autorité de nos jours. Non seulement la plupart de ces ouvrages ont été réédités à de nombreuses reprises jusqu’à des dates récentes, mais ils ont été traduits dans de nombreuses langues.
Est-ce l’origine grandvallière d’Auguste Bailly qui a favorisé l’éclosion d’un style aussi vigoureux, une production aussi dense et variée ? La connaissance approfondie de sujets aussi différents que la peinture des mœurs paysannes et la relation historique dénote une finesse de pensée et une érudition exceptionnelles.
(D’après Madame Pratini, ancien membre de l’association)
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A travers le monde, dans les catalogues des bibliothèques publiques ou universitaires
La bibliographie des œuvres d’Auguste Bailly est difficile à établir : nous avons identifié près de cent titres à ce jour. De nombreuses rééditions rendent la date de première parution incertaine. Les romans ou les nouvelles cohabitent parfois, dans un même volume, avec les textes d’autres auteurs (Les Œuvres libres chez Fayard, la Bibliothèque des Écoles et des Familles chez Hachette…). Des traductions, principalement de monographies historiques, mais pas seulement, ont été éditées dans des langues aussi inattendues que le turc ou le yiddish, mais aussi, plus classiquement, en anglais, allemand, espagnol ou italien.
Cette abondance, cette diversité sont bien entendu prises en compte par de nombreuses bibliothèques publiques ou universitaires et la dispersion des informations amène à procéder à des recoupements systématiques afin d’éviter les doublons, les erreurs et les confusions d’auteurs. Nous n’en sommes malheureusement pas à l’abri et nous apprécierons les informations que l’on pourra nous transmettre à ce sujet.
Heureusement, les grandes bibliothèques, principalement universitaires, sont organisées en réseau et mutualisent leurs catalogues. Reste que c’est à la Bibliothèque Nationale de France (BNF) que l’on retrouve logiquement l’essentiel de l’œuvre, répertoriée suivant des critères qui nous sont familiers et qui permettraient, si des moyens financiers importants étaient disponibles, d’obtenir des fac-similés des ouvrages devenus introuvables.
Il faut également prendre en compte les aspects secondaires de l’œuvre : films et pièces de théâtre tirés de romans, ouvrages écrits en collaboration, préfaces et même une adaptation radiophonique ! Au fur et à mesure de cette plongée dans l’œuvre, Auguste Bailly n’apparaît plus comme l’auteur plutôt régionaliste de La Vestale ou de Blanche Monnet, mai bien comme un écrivain d’envergure nationale, un vulgarisateur incontournable dont certaines monographies sont encore rééditées (la traduction turque de Byzance en 2006, par exemple). Il fût un homme très intégré dans le milieu littéraire du début et du milieu du XXe siècle, jouissant d’une notoriété importante, y compris auprès du grand public pour lequel il écrivait prioritairement.
Cela donne envie de le relire, d’en savoir plus sur son œuvre, sur ses rapports avec ses contemporains et surtout, à travers cette tentative de bibliographie, de conserver une mémoire aussi complète que possible de notre illustre compatriote.
La date indiquée concerne l’édition la plus ancienne que nous ayons pu identifier. Il ne s’agit pas obligatoirement de la première qui peut être antérieure. La pagination est indiquée sous réserve. En effet, elle peut varier d’un éditeur à l’autre. Cela implique que le classement chronologique puisse parfois paraître arbitraire.
Romans Nouvelles .Monographies historiques .Jeunesse Bibliothèque des Écoles et des Familles (Hachette) Autres éditeurs .Publications diverses .Écrits en collaboration .Préfaces .Théâtre et adaptations tirées de l’œuvre .Films tirés de l’œuvre. L’oeuvre d’Auguste Bailly se prête à merveille au passage à l’écran : quatre films ont été tirés de trois romans : La Carcasse et le Tord-Cou, Naples au baiser de feu et Le Désir et l’Amour. Naples au baiser de feu a fait l’objet d’un film réalisé aux USA et dont le titre en anglais est Flame and the flesh. De nombreuses informations sont disponibles en suivant ce lien.Les Prédestinés, Grasset, 1909
Les chaînes du passé, Grasset, 1912 – 296 pages
Histoire d’une âme : août-novembre 1914, Plon, 1917 – 280 pages
La Foi jurée, Grasset, 1914 – 301 pages
Père et Fils, Berger-Levrault, 1918 – 56 pages
Traduit en yiddish par F. Haylperin, B.A. Kletskin, 1921 (?). Foter un zun.Hélène Jarry, Plon, 1921 (4ème éd.) – 242 pages
La Carcasse et le Tord Cou, avec 33 bois originaux de William Graux, Arthème Fayard, 1923 – 231 pages
L’Homme né de la chair, Arthème Fayard, 1923 – 245 pages
L’amour tue et sauve, Plon, 1923 (6ème éd.) – 288 pages
Naples au baiser de feu, avec 30 bois originaux de Ch.J. Hallo, Arthème Fayard, 1924 – 284 pages
La Vestale, Arthème Fayard, 1925 – 288 pages
Saint Esprit, Arthème Fayard, 1926 – 249 pages
Le Désir et l’Amour, Arthème Fayard, 1926 – 125 pages
Estelle, jeune fille d’autrefois, Arthème Fayard, 1927 – 380 pages
Mikou, jeune fille d’aujourd’hui, roman inédit et complet, Arthème Fayard, 1927 – 227 pages
Estelle et Mikou, Arthème Fayard, 1928 – 286 pages
Le Cri de la chair, Arthème Fayard, 1928 – 155 pages
Soir, avec 33 bois originaux de Constant Le Breton, Arthème Fayard, 1929 – 126 pages
La Danseuse à la rose, Arthème Fayard, 1929 – 187 pages
Le Figuier maudit, Arthème Fayard, 1930 – 254 pages
Blanche Monnet, Arthème Fayard, 1931 – 253 pages
L’excommuniée, Arthème Fayard, 1933 – 269 pages
L’amour et M. Charibot, Arthème Fayard, 1924 – 303 pages
L’Amazone captive, grande nouvelle inédite, Arthème Fayard, 1925 – 235 pages
L’Homme errant et autres nouvelles franc-comtoises, Séquania, 1928 – 158 pages
Nouvelles inédites – 44 pages (BNF)
Les Divins Jongleurs, épisodes de l’épopée franciscaine, Plon-Nourrit, 1908
Traduit en anglais en 1909(Lee Warner London). The Divine Minstrels: A Narrative of the Life of Saint Francis of Assisi with His Companions.Le Radeau de la Méduse, Renaissance du Livre, 1929 – 225 pages
Les pensées de Sénèque, H. Piazza, 1929 – 163 pages
La vie de Sénèque, avec une gravure sur bois de A. Ouvré, H. Piazza, 1929 – 204 pages
Néron et Agrippine, variété inédite, Arthème Fayard, 1929 – 295 pages
L’agonie d’un monde, variété inédite, Arthème Fayard, 1929 – 255 pages
Néron, l’agonie d’un monde, Arthème Fayard, 1930 – 250 pages.
Traduit en turc par Karam Serif, Kanaat Kütüphanesi, (Istanbul), 1931. Neron : bir cihanın can çekişmesiMaeterlinck, Firmin-Didot, 1931 – 212 pages. (Avec un portrait de Maurice Maeterlinck en frontispice. Un fac-similé d’autographe et un essai de bibliographie par Francis Ambrière)
Jules César, Arthème Fayard, 1932 – 286 pages.
Traduit en espagnol par Jorge Videla Herrera, Ultra, (Santiago de Chile), 1936 – 213 pages. Julio CesarRichelieu, Arthème Fayard, 1934 (17ème éd.) – 346 pages.Traduit en anglais en 1936 (Cape) : The Cardinal Dictator: A Portrait of Richelieu.
Traduit en allemand en 1937(Paul List, Leipzig) : Der Kardinal als Diktator : Das LebensRichelieu.
Traduit en portugais par Rosalina Maria Caero Tique, Lello & Irmao, Porto, 1985 – 280 pages
Traduit en espagnol par M.L. Perez Torres, Espasa-Calpe, Madrid, 1969 – 224 pages.Mazarin, Arthème Fayard, 1935 – 347 pages.Traduit en allemand par Grete Rottmann,.Rohrer Innsbrück, 1947 -308 pages.
Traduit en espagnol par Felipe Ximenez de Sandoval, Espasa-Calpe, Madrid, 1969 – 215 pages. Mazarino.Louis XI, Arthème Fayard, 1936 – 410 pages
Traduit en allemand et en anglais, Arthème Fayard, 1936.La Fontaine, Arthème Fayard, 1937 – 397 pages
Saint François d’Assise et la révolution évangélique, PUF, 1939 – 138 pages
Traduit en anglais par Ernest Barnes, New York, C. Scribner ; London, Medici society – 1909 : The divine minstrels of the life of Saint Francis of Assisi with his companions.Cléopâtre, Tallandier, 1939 – 532 pagesByzance, Arthème Fayard), 1939 (14ème éd.) – 442 pages.
Traduit en turc par Haluk Saman, Kervan Kitapçılık (Istanbul ?), 1970 – 197 pages. Bizans tarihi. Réédition, Nokta Kitap, 2006. Bizans İmparatorluğu tarihi.Anne de Bretagne, Femme de Charles VIII et de Louis XII, Les livres merveilleux, Monaco, 1943 – 215 pages
Montaigne, Arthème Fayard, 1942 – 352 pages
Madame de Maintenon, Les éditions de France, 1942 – 292 pages
La Florence des Médicis, Hachette, 1942 – 252 pages
La guerre de Cent ans, Arthème Fayard, 1943 – 284 pages
Venise un soir, La Frégate, Genève, 1944 – 213 pages
Le Cardinal Dubois, Les livres merveilleux, Monaco, 1944 – 191 pages
Les reines de France, Les livres merveilleux, Monaco, 1945 – 212 pages
Beaumarchais, Arthème Fayard, 1945 – 316 pages
Le règne de Louis XIV, Flammarion, 1946 – 506 pages
La République de Venise, Arthème Fayard – 1946.
Traduit en espagnol par De Las Heras, Luis de Carlat Editor(Barcelone), 1963 – 375 pages. Historia de VeneciaLa Sérénissime République de Venise, Arthème Fayard, 1946 (17ème éd.) – 362 pages
La couverture porte : ” ‘Desponsamus te mare ! In signum veri perpetuique Dominii ! (Nous t’épousons mer ! En signe de réelle et perpétuelle domination !”)Racine, Arthème Fayard, 1948 – 392 pages
Saint Louis, Arthème Fayard, 1949 – 313 pages
Les derniers Valois, Flammarion, 1951 – 346 pages
La vie littéraire sous la Renaissance, Tallandier, 1952 – 299 pages
Les Grands Capétiens 1180-1328, Arthème Fayard, 1952 – 219 pages
Henri le Balafré, Duc de Guise, Hachette, 1953 – 254 pages
François 1er Restaurateur des lettres et des arts, Arthème Fayard, 1954 – 319 pages.Traduit en espagnol par Leandro Blanco, Herrero (Mexico), 1966 – 280 pages. Francisco I : protector de las letras y de las artes.
Traduit en anglais sous le titre français, édité à Paris, 1961. Mention: With plates, including portraits.Madame de Sévigné, Arthème Fayard, 1955 – 407 pages
La Réforme en France jusqu’à l’Édit de Nantes, Arthème Fayard, 1960 – 522 pages
Le Chevalier Blanc, les Oubliettes, Fausta, une veillée au chalet, Les Trois Vieillards, Yvonne. 1898
Deux amis. Le Stadivarius. 1898 – 40 pages
Le gros Lot, Le Lingot d’argent. 1899 – 29 pages
Vengeance. 1899 – 190 pages
Yves de Kerlatte. 1900
La Légende du blé, La Fée blanche, Le Batteur de blé, Chrysis et Strobile, Le second Cid, Iben-Abir, Capitaine Jacques, Le Secret. 1901
Jean Save, Induciomare le Loup, Hubert le Fauve, Sous le Jong, Sous l’armure d’Og. 1904 – 191 pages
Un Héros inconnu, Les Paquets, Cape Brune, Le Trait d’Union, Jean Névez, Hervé le Noir, Le Jugement de Dieu, Souhaits téméraires, Mesdemoiselles de Fernig. 1902 – 94 pages
Le Ménétrier du Lesslac’h. 1907 – 187 pages
Bertrandou, Jacques Le Flok. 1904 – 16 pages
La Troupe sans rivale. 1910 – 190 pages
Pitounet et Fiocco, le petit nuage, illustrations d’André François, Arthème Fayard, 1945 – 32 pages.
Les jolis Contes de Noël, Hachette, 1920 (?) – 156 pages
Victor Hugo, leçons faites à l’École normale supérieure par les élèves de 2ème année (lettres) : 1900-1901, Directeur de publication Ferdinand Brunetière ; rédacteur Auguste Bailly pour les chapitres I, X et XIV, Hachette – 1901.
Grammaire française cours élémentaire – 1904
Grammaire française cours moyen, Éditions E. Cornély, 1903 – 253 pages
Grammaire française cours supérieur, Éditions E. Cornély, 1904 – 376 pages
Cours d’enseignement primaire, 240 exercices, cours élémentaire, Éditions E. Cornély, 1904 – 127 pages.
La Troupe sans rivale, Hachette, 1914 (2ème éd.) – 190 pages
Thomas Barlett en France, l’Anglais tel qu’il est, Berger-Levrault, 1918 – 63 pages (avec d’autres auteurs)
L’École classique française : les doctrines et les hommes 1660-1715, Armand Colin, 1922 – 214 pages
L’Homme errant et autres nouvelles franc-comtoises, illustrations d’E. Templeux, Éditions Séquana – 1928
Images florentines, variété littéraire historique, Arthème Fayard, 1934 – 251 pages
Besançon (Éditions du Siècle/Nouvelles éditions latines) – 1935
Robert Fernier, peintre de la neige, peintre du Jura, Laboratoires Chantereau, 1955 – 6 pages
Note : De nombreuseuses bases de données (bibliothèques, librairies en lignes…) attribuent à Auguste Bailly le dictionnaire Grec-Français édité chez Hachette en 1895 et toujours d’actualité. Cet ouvrage célèbre chez les hellénistes est en réalité l’œuvre d’Anatole Bailly, normalien lui aussi mais sans aucun rapport avec l’écrivain jurassien.
Le Destin de Madame du Barry de Jacques Levron; Franco Bandini; Auguste Bailly; Jeannine Auboyer, le Cercle Historia, 1964
La crèche et le théâtre populaire en Franche-Comté, Folklore comtois, 1974 – 286 pages (avec Jean Garneret et Charles Culot)
La Crèche, traduction et illustrations de Jean Garneret, Foyer rural d’Arguel-Puget – 1982
La Crèche, partition musicale, Jean Garneret; Auguste Bailly; Jean-Pierre Dhôte, Foyer rural d’Arguel-Pugey, 1982.
Les Joyeux contes de mon pays : histoires rustiques de Comté de Francis Clerc, préface d’Auguste Bailly, Séquania, Besançon, 1928.
Joies de Vivre. Franches contées de Franche-Comté́, de Richard Saint-Lothain, illustrations de R. Fernier, préface d’Auguste Bailly, Séquania, Besançon, 1928.
‘Sabrez! … ‘ ; Ceux de ‘Chamborant’ de Henri de Versonnex, préface d’Auguste Bailly. Tallandier, 1933.
Denise ou la Province, de Maurice Roya, roman, préface d’Auguste Bailly. Berger-Levrault, 1938.
Le Jura pittoresque : guide touristique, collectif, préface d’Auguste Bailly, Marque-Maillard, Lons-le-Saunier, 1948
Voyage de Paris à Limoges de Jean de La Fontaine; Gravures originales de Jean Frélaut, préface d’Auguste Bailly. Les Pharmaciens bibliophiles, 1951.
L’ingénue, comédie en un tout petit acte (dans Candide du 28 avril 1927)
Au temps du roi saint Louis. Pièce en 1 acte, tirée d’un Conte d’Auguste Bailly.
de Jeanne Leroy-Denis, Auguste Bailly, Les Éditions du bon Répertoire, 30 pages – 1931Naples, pièce en 9 tableaux d’après l’œuvre d’Auguste Bailly : Naples au baiser de feu, Arthème Fayard, 1938 – 173 pages
Naples au baiser de feu, enregistrement sonore (disque 33 tours 30 cm – Columbia 33FSX1 28) Paroles de Henri VARNA – Marc-Cab, et René RICHARD – Musique de Renato RASCEL ; Tino ROSSI – Jacqueline MILLE – Jenny Marlaine – Arlette PATRICK – Orchestre et Chœurs dir. Pierre SPIERS
Naples au baiser de feu : adaptation romancée, illustrée de nombreuses photographies du film et inspirée de l’œuvre d’Auguste Bailly, Tallandier, Paris, 1938.
La Carcasse et le Tord Cou, manuscrit : adaptation radiophonique du roman, Gaston Heaulme, 1963. 1ère diffusion : Radiodiffusion française, France III – National, 19630610.